[00:08.57]Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux[00:13.57]Puisqu'on est fou, puisqu'on est seul[00:16.82]Puisqu'ils sont si nombreux[00:19.42]Même la morale parle pour eux[00:24.42]J'aimerais quand même te dire,[00:27.72]Tout ce que j'ai pu écrire[00:31.92]Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux[00:41.27]Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes[00:45.92]À trop vouloir te regarder j'en oubliais les miennes[00:50.82]On rêvait de Venise et de liberté[00:55.32]J'aimerais quand même te dire,[00:58.52]Tout ce que j'ai pu écrire[01:02.82]C'est ton sourire qui me l'a dicté[01:21.02]Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves[01:26.02]Tu viendras toujours du côté où le soleil se lève[01:31.02]Et si malgré ça j'arrive à t'oublier[01:35.72]J'aimerais quand même te dire,[01:39.02]Tout ce que j'ai pu écrire[01:43.22]Aura longtemps le parfum des regrets.[01:47.32]Et puisqu'on ne vivra jamais tous les deux[01:52.42]Puisqu'on est fou, puisqu'on est seul[01:55.72]Puisqu'ils sont si nombreux[01:58.42]Même la morale parle pour eux[02:03.32]J'aimerais quand même te dire,[02:06.62]Tout ce que j'ai pu écrire[02:10.92]Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.